11.2.17

Pensées anonymes - #MyHopefulBrothers #4

Merci à ceux qui ont joué le jeu de la  plus ou moins longue phrase.

Il n'est pire sensation que de se voir privé de parole lorsqu'on se sent déjà incompris.


La liberté quelle quelle soit est comme une liqueur, le peuple y goutte pour s'enivrer. Au Cameroun on a privé une partie du peuple de cette liqueur. Mais comme tous les stupéfiants le sevrage est souvent violent et cette fois ci je formule la prière que le peuple ne se laisse pas corrompre par quelques litres de bières. Mais qu'il revendique ce qui lui revient de droit. Et parce que plus on est de fous plus on rit j'aimerais tellement que ce combat devienne national.


Nous pensions tous être différents jusqu'au jour où nous sommes devenus plus intolérants que ceux que nous décriions.

Le système camerounais est une grosse autruche.


Je n'ai jamais été autant déçu par notre gouvernement. Je pensais quand même qu'il ne nous ferait pas subir certaines choses mais c'était un leurre. Et ça me brise et me rend méfiante concernant l'avenir.

Ici c'est la bas, la bas c'est ici, que ce soit ici ou là bas, au nom du vert rouge jaune étoilé, broda, sista, restons soudés; on est ensemble.



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